Oouh Mama!

Mollo sur le Flanger Andrew

Merde. Je crois que j'ai vu la lumiere..

Happy Mondays - Hallelujah (Andrew Weatherhall club Mix) 1989

New Order - World in Motion (Andrew Weatherall & Terry Farley No Alla Violenza Mix) 1990

Don't forget the "Feathers" track from the previous posts

Danger Bien Sur

J'adore le son de ce type, sa façon de produire. Les monitors suintent les synthés sans pour autant cacher le reste d'un morceau. Ca cute mais pas trop, ca kicke plutot bien, pas trop typé.

On aime l'atmosphère "couteau entre les dents, ce soir je joue ma survie"

De la confiture pour les cochons quoi.

- Divin : Sebastien Tellier - Divine (Danger Remix)

- Danse un peu ma jolie : Estelle feat Kanye West - American Boy (Danger Remix)

- Danger - 14h54

Focus

Week end has arrived, time to rest and focus on more essential things.

Sun, music and friends might be those.

Chill
Kelis&Cee-Lo - Lil Star (Linus Loves Rmx)
Enjoy
Calvin Harris - Merrymaking at my place
Warm up
Andrew Weatherwall - Feathers
(Check it out)
Get lost
Alex Gopher - Aurora (Dada Life Rmx)

I think I´m not gonna be posting any track above 120bpm in the next future, so as to rest my soul for the upcoming Sonar.

All things considered, sometimes the world is better left a bit out of focus..

It's like I've been spending the week picturing myself walking to no particular direction. Some great tracks didn't help though, making me feel like kinda "jetlagged" for no reason. Me fighting against me.

Is my mood depending of the tunes that happen to reach my ears, or is it determining the the musical ambiences I´m gonna be receptive to??

Tommy Guerrero - Knives fighting Guns

Tracey thorn - King´s Cross (hot chip rmx)

Martyn - Velvet

(from VA-Round Black Ghosts \ Scape 2008)

Am I hearing or listening?

Some say silence is a rythm too..

Gotta get involved in some projects, into people also, that would make me stop thinking weeks are made to wait for the weekend..

Sebastien Tellier - L'amour et la violence (Apt One Remix)

La vie en Kaleidoscope - Et toi tu vois quoi ?

On le sait bien, tu n'auras pas le même regard que ta maman sur une pochette de disque, pas la même écoute du dernier Fred Falke que ta grande soeur avocate d'affaires, pas la même descente de vodka-red bull que ton ancien voisin devenu séminariste. Non, la bénédictine ne compte pas.

C'est vraiment fascinant la façon dont on utilise nos sens, et la façon dont certains accèdent plus facilement à notre coeur. Pour les uns, la musique se résume à une unique mélodie, et quelques boums boums de ci de là. Un track en deux pistes quoi. Un rêve de producteur... Pour les autres, chaque kick est un battement de cœur, chaque note de synthétiseur une larme, chaque sample un coup de cutter.

Finalement la musique, sans même la composer, est un miroir de l'âme. Comme un chimiste, le producteur va tester différentes régions de ton coeur, chercher les émotions enfouies derrière ton attitude, tes regards détournés et tes Air Force tunées, les lunettes d'Erlend Oye.

On définit nos codes par ce qu'on écoute, ce qui nous touche. Tout ça batit une personnalité, un référentiel. C'est ce qui t'enrichit, et bien plus que ton rib.

Les pochettes de disque me manquent. Le vingtenaire que je suis n'achète presque plus de disques, aimerait pouvoir se payer toute sa discothèque en vinyle, juste pour pouvoir admirer ces artworks travaillés, qui bâtissent eux aussi l'image de nos héros, nous ont fait parfois autant rêver que le disque lui-même.

Ce matin, j'ai vu des costards en rang par deux. Mon père a vu des gens pleins d'avenir. Vendredi soir, j'ai croisé des gens éphémères, des gens inspirés, des gens perdus, des gens beaux, j'ai vu les gens devenir eux-mêmes, vers 4 h 18, or so. J'aime bien. Je veux leur ressembler. Pourquoi ?

Sur une pochette, les choses doivent parler d'elles-mêmes, tout comme le regard de cette fille tout à l'heure. Tout comme vers 4h18... Une prison en or somme toute.

The Whitest Boy Alive - Golden Cage (Fred Falke Remix)


C'est pas Noël, mais bon... parfois, je m'enferme tout seul pour ne l'avouer à personne, mais j'aime bien George Michael.

Erlend Oye - Last Christmas

Tout au long de ta vie, tu bâtis tous tes codes à travers les musiques, Tu t'es senti aussi romantique que Superpitcher, t'as rêvé d'avoir les mêmes blousons que datA, les mêmes tignasses que tes rockers anglais favoris, les mêmes pompes que les premiers rappers.

Et toi tu vois quoi ?

Zdar - See Me Now

El Mundo

Un hombre del pueblo de Neguá, en la costa de Colombia, pudo subir al alto cielo.

A la vueltá contó.

Dijo que habia contemplado, desde alla arriba, la vida humana.

Y dijo que somos una mar de fuegitos

El mundo es eso, reveló. Un montón de gente, una mar de fuegitos. Cada persona brilla con luz propia entre todas las demas.

No hay dos fuegos iguales. Hay fuegos grandes, y fuegos chicos, y fuegos de todos los colores.

Hay gente de fuego sereno, que ni se entera del viento, y gente de fuego loco, que llena el aire de chispas.

Algumos fuegos, fuegos bobos, no alumbran ni queman; pero otros arden la vida con tantas ganas que no se puede mirarlos sin parpadear, y quien se acerca, se enciende.

Eduardo Galeano - "El libro de los abrazos"

Fred Falke - 8:08 pm

Aie, j'ai mal

Les nuits se suivent et ne se ressemblent pas.

Reveil difficile à 4h49 du mat, à environ 24 arrets de bus trop tard...

Zombie time - ambiance opulente - 8 bits love...

Night life.


Crystal Castles - Courtship Dating

Chateau Flight - Baltringue (Body Language remix)

London Blues

Ca faisait longtemps que je voulais en placer une pour un petit gars qui fait son petit bonhomme de chemin tranquillement. Malgré le fait qu'on lui offre de placer ses morceaux sur un Dj Kicks, lui s'en fout et poursuit ses épopées soniques, le synthé sur le dos, l'air de rien.

"Grovesnor is an incredible blue-eyed soul singer backed by homemade electronic beats." Mylo

Avis aux amateurs de Rhodes et nuits blanches, ce type a du génie. On dirait Joe Jackson en train de se saouler derriere son piano. Heureusement, et pour pas qu'on se mette tous a chialer, Grovesnor a quelques amis pour lui remonter le moral:

Jingle..

Grovesnor - Nitemoves

Grovesnor - Drive Your Car (Hot Chip Remix)

Grovesnor - With Every Heartbeat (Robyn Cover)

Packshot..

Aujourd'hui, le temps s'est arreté.

Les badauds pointent leur nez dehors, un peu ahuris par la brusque accalmie d'une tempête de pluie qui s'abattait depuis deux jours sans un seul instant de répit. (Photo Romulald)

Tom Middleton - Sea of Glass

Un instant, la ville a laissé le soleil éclairer ses ruelles: rayon de soleil qui perce la couche de nuages noirs et menacants qui nous faisaient croire à de sombres lendemains, tu as fait le bonheur de ma journée, et tu m'as réappris le sens de l'expression "comme un dimanche"...

Lanark - The stone that the builder rejected

Au balcon, je peux sentir l'odeur des rues, qui respirent, lavées des immondices que notre quotidien accumule. A l'autre bout de l'appartement, j'entends Nuria qui chante des airs de Marisa Monte accompagnée de sa guitare, et je me dis qu'il va falloir très vite réinstaller mon studio et remettre la musique au centre de ma vie, capter ces petits instants de grâce qui ponctuent nos existences et y donnent un sens.

Booka Shade - Charlotte

L'été est là, Charlotte l'a bien compris, ses boucles effleurent nos oreilles telle une sirène qui use de ses plus belles nappes pour nous perdre au fond des nuits humides d'une Barcelone torride. Avec elle, je ne réponds plus de rien: me ruiner, gravir une montagne, réparer une machine à laver, cuisiner, rebrancher un clavier.

On la suivra, on se perdra, et on marchera béats dans le dédale des obscures ruelles, parfait reflet du labyrinthe de nos incohérences. La tête qui tourne, en se repassant en boucle cet ovni de Sébastien Tellier qui nous opère à coeur ouvert.

Sebastien Tellier - L'amour et la violence


Et puis on eclatera de rire...

De toute facon, demain c'est dimanche.


Scenario Rock - Frantic Dance of Death

(Photo Alberto Benares)

Chill Out, Bugg Out

These endless week ends are driving me mad. I'd spend millions of days like these ones. What's wrong then ? Being inactive is not a way to get things work. I need to focus on what I love. I work for shit. Still the same juvenile questions yeah... Fear is the problem, money is another, free my mind may be the answer.

Chill out, walk in unknow streets in your favourite european capital, meet unexpected people, and see if they got something living in their eyes.

It's been 7 years since I got out of college. It's been a year since I graduated. It's been a 3 months since I started wearing suits. It's been 7 years since I kept doing nothing for what I love. It's been a year since I felt horribly empty, feeling down about my everyday life and the pleasure I get from it. I still feel lonely when thinking about notes, melodies. Drums are like heartbeats in my chest, torturing me every 4/4. That's quite a lot indeed.

How long will I keep on living this way ? Too late to answer tonight.

Change will come. Price to pay for mental survival.

This afternoon, chillin' by the river : Kid Loco - Love Me Sweet

Tonite, alone in front of screen : Joakim - Lonely Hearts

Writing this piece of shit : Booka Shade - Body Language

I promise we'll go out soon and stop being sad, share some more love. A simple answer to any happy people.

Classic counter strike : Laurent Garnier - The Man With The Red Face

J'ai chaud.

J’ai chaud

J’ai chaud, on dirait que c’est déjà l’été. On respire enfin l’air chaud typique des longues nuits. On a envie de pointer son nez dehors voir si l’inattendu va arriver ce soir. Ce mirage du mois de mai fait beaucoup de bien et beaucoup de mal à la fois. Chaque anonyme dans la vie active vous dira la même chose. Surtout quand le jeune actif est plutôt tourné indépendance, déraison, TB 303, Juno et Reason: le pompier émotionnel moderne quoi. Au lieu de ça tu évites. Mirage climatique.

Sebastien Tellier me rappelle que la vie tient à peu de choses : une envolée synthétique et tout bascule dans la tête. Je rêve de Biarritz en été, d’amour et de violence, et de filles en jogging moulants dans un film dirigé par un hybride Tellier/Dupieux : futur, sexy, enfantin, instinctif, absurde, exigeant, génial. Envie de pleurer et tout laver. Le contexte personnel du narrateur y compte pour beaucoup, mais définitivement, l’album de Sebastien Tellier est empli d’une tristesse infinie et irrésolue de l’enfant qui me fait totalement chavirer.

Sébastien Tellier - Roche

Je rêve de missiles sonores, d’armes d’émotions massives, je rêve forcément du Sonar donc. Plus qu’un bon mois et nous nous en irons à Barcelone saluer l’arrivée de la saison de l’amour et de la jeunesse éternelle. Bien qu’ayant peur d’une certaine Benicassimisation (on peut se permettre d’être exigeant avec le Sonar, si exigeant depuis sa création), on ira encore voir ce qu’il se passe de neuf dans le monde des robots et machines émotifs, et on trouvera bien quelques moments rares sous les arbres du MACBA ou dans un des « offs » du week end. On pense déjà à Mike et Jeff sur scène, aussi. En tant que jeunot c’est du jamais vu pour moi, et je veux savoir ce que c’est en 2008, pour peut être essayer de remonter à Detroit, la musique électronique et ses eighties.

Je rêve de là ou je ne suis pas

Je rêve de là ou je ne devrais pas être.

Am I happy with who I am ?

Am I happy with the people around ?

Galaxy 2 Galaxy - Transition

Soudain l'orage éclate mais le doute n'est pas dissipé. J'ai toujours chaud et je ne dors pas.

Prefuse 73 - Storm Returns